Le gros problème des vaccins contre la Covid-19

Nos logisticiens établissent des plans mirobolants de vaccination -terre entière-  mais avec quoi vacciner les populations ? La Prévention vitamine C Zinc etc... semble être pour l'instant une option intéressante.   On attend la suite

Mais nous devons nous informer :

 

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Début novembre, le laboratoire Pfizer annonce un vaccin anti-coronavirus efficace à 90 %. C’est l’enthousiasme général, les Bourses du monde entier montent en flèche. Quelques jours après, la start-up Moderna annonce un vaccin efficace à 94,5 %.

A nouveau, les cours de Bourse s’enflamment.

Pfizer surenchérit alors en déclarant que, finalement, son vaccin est efficace à 95 % !

A peu près au même moment, le 16 novembre, il s’est produit quelque chose d’assez extraordinaire, passé totalement inaperçu.

Une équipe de chercheurs turcs publie une étude sidérante, en preprint, sur le site de The Lancet[1].

Eux aussi auraient trouvé une sorte de « vaccin » préventif contre le coronavirus, efficace lui aussi à plus de 90 %.

Mais la solution turque est très différente des vaccins de Pfizer, Moderna ou Sanofi :

    • Elle n’a pas coûté des milliards au contribuable pour l’inventer : en fait, elle a coûté zéro euro à mettre au point, car on la connaît depuis des dizaines d’années ;
    • Elle n’a pas besoin d’être injectée, et encore moins conservée dans un frigo à -70 degrés, ni même à -20 degrés : c’est une simple pilule à avaler ;
    • Elle ne cause strictement aucun effet indésirable, et personne ne s’inquiète de ses répercussions sur le système immunitaire ou le patrimoine génétique, contrairement aux vaccins à ARN messager en préparation ;
    • Elle est distribuable immédiatement à la totalité de la population mondiale, pour un coût minime, alors que les nouveaux vaccins ne seront pas disponibles massivement avant 6 ou 12 mois.

Sur le papier, cette solution turque est donc largement supérieure aux « vrais » vaccins qu’on nous annonce.

Mais bizarrement elle n’a fait l’objet d’aucun grand titre médiatique.

Les cours de Bourse n’ont pas bougé d’un pouce lors de la publication de ces résultats.

Car ce n’est pas un vaccin high-tech, mais un simple complément alimentaire, contenant trois molécules naturelles : la quercétine, la vitamine C et la bromélaïne.

On ne peut pas faire plus basique.

Et pourtant, ces résultats n’ont rien à envier aux « vrais » vaccins coûtant des milliards d’euros.

Regardez bien les résultats de Pfizer, et comparez-les à ces substances naturelles

Regardons ensemble les résultats obtenus par Pfizer. Ce grand laboratoire a fait un test sur 40 000 personnes environ. Il a injecté son vaccin expérimental à la moitié de ce groupe, et un placebo à l’autre moitié.

 Puis, les volontaires ont été libres de vivre leur vie, en s’exposant au risque du virus.

Au bout d’environ 2 mois, 170 personnes ont été confirmées positives à la Covid-19 :

    • 8 seulement dans le groupe ayant reçu le vaccin (0,04 % du groupe a été infecté)
    • Contre 162 dans le groupe placebo (0,81 % du groupe a été infecté)

Donc, on trouve à peu près 20 fois moins d’infections dans le groupe vacciné.

Et c’est pourquoi Pfizer annonce une efficacité à 95 %.

 En attendant les chiffres complets, il faut reconnaître que c’est un bon résultat.

 

Mais regardons maintenant les résultats de l’étude turque.

Ils n’ont pas eu besoin de tester des milliers de personnes, car ils ont donné leur solution quercétine-vitamine C-bromélaïne à des personnes à très hauts risques d’être infectées : les personnels soignants.

 Le résultat est impressionnant :

    • 1,3 % du groupe ayant reçu ces molécules naturelles a été infecté (1 sur 72 personnes)
    • Contre 21,5 % du groupe ayant reçu le placebo (9 sur 42 personnes)

Comme pour le vaccin Pfizer, on a presque 20 fois moins d’infections dans le groupe traité par rapport au groupe placebo.

En appliquant le même calcul que Pfizer, cela donne une efficacité à plus de 90 %.

N’est-ce pas formidable ?

 Et le plus fou, c’est que les molécules naturelles testées par l’équipe turque ne sont même pas celles qui ont déjà fait la preuve massive de leur efficacité, comme la vitamine D et le zinc.

 Certes, on sait que la vitamine C est efficace en prévention des infections. Et depuis le début de l’épidémie, je suis convaincu de l’intérêt énorme de la quercétine, « le micro-nutriment à essayer d’urgence » contre la Covid-19[2].

Mais jusqu’à présent, les meilleures études scientifiques ont surtout prouvé l’efficacité de la vitamine D et du zinc en prévention.

Je rappelle que dans l’étude de référence sur près de 200 000 personnes, un taux optimal de vitamine D dans le sang permettrait de réduire de moitié le nombre d’infections à coronavirus.

Imaginez donc qu’on donne à tout le monde de la vitamine D et du zinc en plus de la quercétine, vitamine C et bromélaïne : on aura forcément des résultats encore meilleurs !

Sans doute plus de 95 % d’efficacité, sans le moindre effet indésirable et à un coût ridicule !

Et pourtant, on ne vous parle pas de ces résultats spectaculaires obtenus avec des molécules naturelles.

On préfère vous « vendre » des vaccins expérimentaux, conçus en quelques mois et dont l’impact sur notre santé n’a pas été correctement évalué.

 Je vous ai dit plusieurs fois que j’étais inquiet face à ces vaccins fabriqués à la hâte.

C’est le moment de vous expliquer pourquoi, en détail :

Les vaccins qu’on nous prépare n’ont RIEN À VOIR avec ceux qu’on connaît

Il faut bien comprendre que les vaccins qu’on nous annonce sont d’un genre totalement nouveau.

Ce type de vaccin n’a jamais été utilisé de façon courante, et nous n’avons strictement aucun recul sur leurs effets indésirables.

Ce ne sont ni les vaccins « inactivés » ni les vaccins « atténués », que nous connaissons de longue date.

Pour rappel, les vaccins atténués consistent à injecter des virus vivants mais dont la dangerosité a été « atténuée », comme son nom l’indique.

C’est le cas des vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, la tuberculose (BCG) ou les rotavirus.

Une des façons d’atténuer un virus est de le cultiver sur des cellules d’une autre espèce, pour le rendre incapable de se multiplier chez l’homme.

L’avantage de cette technique est que les vaccins ressemblent fortement à une infection « normale », ce qui permet de produire une réponse immunitaire naturelle plus forte.

Mais c’est aussi leur inconvénient : comme la vaccination est proche d’une infection normale, cela peut aussi causer la maladie qu’on cherche à prévenir chez les personnes vulnérables, en particulier ceux qui n’ont plus de système immunitaire actif (les personnes immunodéprimées).

C’est une différence avec l’autre grande classe de vaccins que l’on connaît bien, les vaccins inactivés, dont le plus connu est le vaccin contre la grippe.

Dans ces vaccins, le virus n’est pas atténué mais « inactivé », c’est à dire qu’on l’a tué, par de la chaleur ou encore du formaldéhyde, une substance très toxique (et cancérigène pour l’homme)

La limite de ces vaccins inactivés est qu’ils provoquent une réponse immunitaire plus faible, ce qui nécessite généralement plusieurs doses et des rappels réguliers.

Quoi qu’il en soit, atténués ou inactivés, ces vaccins traditionnels étaient totalement inadéquats contre la Covid-19 pour une raison simple : il faut beaucoup de temps pour les produire !

Car ils contiennent de vrais virus, qu’il faut donc cultiver en laboratoire, ce qui prend de longs mois.

Voilà pourquoi les principaux vaccins occidentaux annoncés contre la Covid-19 utilisent des technologies totalement nouvelles, à base d’ADN ou d’ARN messager.

Il y a une seule exception, c’est le vaccin de Sanofi-GSK.

Il faut en dire un mot, car ce vaccin est une sorte « d’intermédiaire » entre les techniques anciennes et les nouvelles technologies génétiques.

Attention aux adjuvants du vaccin-OGM Sanofi-GSK !

La technologie du vaccin de GSK-Sanofi n’est pas entièrement nouvelle, car elle a déjà été utilisée pour les vaccins controversés contre l’hépatite B et le papillomavirus (HPV).

Mais c’est tout de même une technologie récente et « high-tech ».

D’abord ces vaccins contiennent seulement certains fragments du virus, et non le virus entier (inactivé) ou modifié (atténué).

Or plus on s’éloigne du virus « normal », plus le risque est grand que le système immunitaire ne le reconnaisse pas, ne réagisse pas, et donc que le vaccin soit inefficace.

C’est pourquoi ces vaccins-là nécessitent souvent de nombreuses doses pour être efficaces (3 doses en 6 mois pour l’hépatite B), ainsi que des adjuvants puissants et potentiellement dangereux comme l’aluminium.

Dans le cas du vaccin GSK-Sanofi, il faut d’autant plus se méfier de l’adjuvant qu’il sera fourni par GSK. Or souvenons-nous que GSK avait créé pour 2009 un vaccin contre la grippe H1N1 contenant un adjuvant à base de « squalène », dont il avait été prouvé scientifiquement qu’il avait causé des centaines de cas de narcolepsie, une maladie invalidante[3][4].

C’est par exemple ce qui est arrivé à un jeune garçon, âgé de 10 ans lorsqu’il se fait vacciner en 2009, et handicapé à vie depuis lors. Plus de dix ans après, en 2020, le tribunal administratif de Rennes a fini par lui accorder une indemnisation de 1,39 million d’euro[5] - une somme importante, liée à la gravité du préjudice, mais qui ne parviendra certainement pas à réparer une vie gâchée.

Méfiance, donc, avec l’adjuvant du nouveau vaccin GSK-Sanofi contre la Covid-19.

Mais on peut aussi se méfier des « fragments de virus » qui seront apportés par Sanofi.

Car ces fragments ne sont pas extraits des virus : ils sont fabriqués de toute pièce en laboratoire, par manipulation génétique : ce sont des OGM.

Les fragments de virus OGM sont un gros avantage pour les laboratoires, qui n’ont pas à cultiver des virus sur des cellules. Ils se contentent de fabriquer directement les fragments, ce qui leur fait économiser beaucoup de temps et d’argent.

Mais avec ces fragments créés génétiquement, on est très loin du virus « naturel ». Conséquence : cela peut conduire le système immunitaire à réagir de façon anormale.

Voici un des risques encourus, selon le Criigen, un comité de recherche et d'information indépendant sur le génie génétique :

« L’antigène (c’est à dire le fragment de virus-OGM contenu dans le vaccin, NDLR) étant produit par des cellules transgéniques, on n’aura pas la certitude qu’il est correctement replié. (…)

Le mauvais repliement d’une protéine peut avoir des conséquences absolument imprévisibles et parfois très fâcheuses. N’oublions pas que les maladies à prion, par exemple (maladie de la vache folle, maladie de Creutzfeldt-Jakob, tremblante du mouton, etc…), sont dues à de simples défauts de repliement d’une protéine particulière.

Certes, tous les défauts de repliement ne font pas des prions..., mais prions pour que la protéine virale se replie bien. »[6] 

Bref, même le vaccin le moins « nouveau », celui de Sanofi-GSK, s’éloigne déjà nettement de nos vaccins traditionnels, avec tous les risques que cela comporte.

Mais les vaccins qui nous sont promis dès le début de l’année 2020 devraient être expérimentés avec encore plus de prudence.

Car ils reposent sur une technologie totalement nouvelle, qui n’a encore jamais été mise sur le marché, pour aucun vaccin !

Les vaccins ADN et ARN : une IMMENSE EXPÉRIMENTATION sur l’être humain

Il s’agit des vaccins de Pfizer, Moderna et Astrazeneca, qui ont le vent en poupe. Leur énorme avantage, pour l’industrie pharmaceutique, est qu’ils sont peu coûteux et rapides à produire.

Pour une raison simple : les laboratoires n’ont pas besoin de cultiver de virus Sars-CoV-2 en laboratoire. Et ils n’ont même pas besoin de fabriquer des fragments de virus par manipulation génétique !

Aussi fou que cela puisse paraître, ils consistent à injecter un « message » qui va demander à nos cellules de fabriquer elles-mêmes une partie du virus… et c’est cette partie du virus créée par notre propre organisme qui doit produire une réponse de notre système immunitaire.

Cela peut paraître de la science-fiction, mais c’est bien réel : les vaccins à ADN et ARN consistent à injecter un « code » génétique dans nos cellules, et ce code leur donne l’instruction de fabriquer par elles-mêmes une petite partie du coronavirus Sars-CoV-2.

Pour que ce soit efficace, il faut que ce code génétique parvienne jusqu’à la cellule. C’est déjà un énorme pari, car on n’a jamais fait cela à grande échelle.

C’est pour cette raison que l’Université d’Oxford (vaccin AstraZeneca) et les Russes (Spoutnik V) ont décidé d’utiliser un « vecteur » pour être sûrs que le message ARN atteigne bien la cellule.

Quel est ce vecteur ? C’est un autre virus (adénovirus), théoriquement inoffensif, mais ayant l’avantage de savoir entrer facilement dans nos cellules.

Les Anglais d’Oxford ont choisi d’utiliser comme vecteur un adénovirus de chimpanzé, connu pour ne pas être dangereux pour l’homme, tandis que les Russes ont voulu mettre toutes les chances de leur côté en utilisant aussi un adénovirus humain affaibli.

Comme toujours avec les vaccins, le problème est de trouver un équilibre entre l’efficacité et les risques pour la santé.

Les Russes prennent plus de risques avec deux vecteurs viraux, car ils veulent s’assurer que le message génétique arrive bien dans la cellule, et que le vaccin soit efficace.

Les Anglais se contentent d’un seul vecteur viral, à base de virus de chimpanzé.

Et puis il y a les Américains, avec notamment Moderna et Pfizer.

Ils ont choisi de se passer purement et simplement d’un vecteur à base de virus « naturel ».

A la place, ils ont fabriqué de toutes pièces une « enveloppe artificielle » constituée de nanoparticules de lipides, comme moyen de transport pour arriver à la cellule.

Ce pari semble « gagné », puisque les résultats préliminaires montrent que ce vaccin a bien réussi à créer une réponse immunitaire, donc à atteindre les cellules.

Avec quelle efficacité contre la maladie, et pour combien de temps ? C’est une grosse inconnue, j’y reviendrai.

Mais surtout, avec quelles conséquences pour l’être humain ?

C’est l’énorme problème que nous avons devant nous.

Car ces vaccins à message génétique sont une révolution, dont on ne peut pas anticiper l’ensemble des conséquences.

Il y a un risque – faible mais réel – que ces vaccins causent de vrais dégâts.

 

Je vous en parle très vite, restez connecté.

Bonne santé,

Xavier Bazin

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